Accueil › Ingénierie Acoustique › Assistance – Consultance – expertise › TROUVEZ L’ASSISTANCE INDISPENSABLE À UN PILOTAGE « BRUIT » EN TOUTE SÉRENITÉ
La mission première du bureau d’étude acoustique est de faire du conseil. Cela passe potentiellement par des études acoustiques, mais pas seulement ! Prenons un grand groupe industriel : les études acoustiques ne devraient être que l’ultime étape et pas le point d’entrée. Ce dont l’industriel a besoin, c’est d’un processus d’accompagnement, au cours duquel le consultant prend connaissance des sujets, les soupèse, les trie, les hiérarchise et finalement convient avec son client industriel des suites à donner :
Que gagne le groupe industriel à se faire accompagner ainsi ? La vision centrale des enjeux et des actions à mener, l’anticipation nécessaire à la bonne gestion du temps et de l’argent, l’amélioration de sa performance en matière de conditions de travail et d’environnement, une diminution des conflits et des risques, la satisfaction de faire beaucoup mieux avec beaucoup moins. Il passe ainsi de la stratégie « pansements et antalgiques » à une stratégie de « vie plus saine ».
En résumé :
Très simple, il suffit de convenir d’un volume d’accompagnement sous forme de nombre de jours annuels destinés à faire ensemble ce travail d’analyse et d’orientation des stratégies et des efforts. Pour un grand groupe industriel international, l’accompagnement peut représenter 10 à 20 journées par an (à discuter évidemment) et il est possible d’ajouter des prestations complémentaires le cas échéant, pour des réunions institutionnelles, des présentations auprès de la direction générale, pour la présence à des réunions à fort enjeu (CSE, association de riverains, etc.). À la carte donc.
Cette offre, nous l’avons appelée « QUIET« , parce qu’elle permet aux décideurs de manager en toute tranquillité, dans le calme et la sérénité.
L’usine faisant face à une non-conformité réglementaire vis-à-vis du bruit dans l’environnement, le service HSE fait réaliser des études et des travaux d’insonorisation sur certains équipements pour revenir à une situation conforme, avec succès ; peu de temps après, le service travaux neufs fait installer de nouveaux équipements, sans aucune précaution préalable et revoici l’usine non-conforme…
Parce que la démarche Quiet permet de centraliser toutes les informations relatives au bruit et à leur historique, les choses se seraient passées de la façon suivante :
Un grand groupe industriel, sensibilisé au risque bruit parce qu’il a eu à s’en préoccuper un grand nombre de fois, se pose la question du risque « bruit dans l’environnement » pour la nouvelle unité de production qui est en projet. Celle-ci se situera à environ trois cents mètres d’une zone résidentielle, située de l’autre côté d’une route nationale et entourée de zones agricoles.
Parce que l’expert acousticien est capable d’estimer à la fois les émissions sonores de ce type d’unité industrielle et celles de la route nationale, il sait évaluer le risque en première approche, sans faire ni mesures, ni modélisations complexes. Avec une simple estimation, basée sur des formules de calcul sommaires, il aurait conclu à l’absence de risque vis-à-vis du bruit dans l’environnement et aurait proposé les éléments justificatifs pour la partie acoustique de l’étude d’impact à produire. Il aurait listé toutefois les éléments à surveiller dans le cas d’une évolution du projet.
Le client aurait été serein, sachant qu’il ne va pas rencontrer de difficultés majeures, mais il aurait été toutefois sensibilisé et en alerte sur l’évolution possible du projet. Il aurait fait des économies sur la partie étude d’impact en ne surdimensionnant pas ses attentes.
Voulant reconstruire son usine, l’industriel se voit proposer par la commune un nouveau terrain, plus grand et donc plus pratique que le précédent. Il confie la mission à une maîtrise d’œuvre, sans spécialité acoustique.
L’usine est implantée en fond de parcelle, côté riverains, tandis qu’un immense espace vert est réservé côté zone industrielle. Les quais de chargement et de déchargement sont implantés côté riverains, ainsi que les salles des machines, compresseurs d’air et groupes frigorifiques et groupe électrogène « EJP ». La façade opposée, côté zone industrielle, est parfaitement silencieuse.
Au premier jour de la mise en service, les voisins se plaignent vigoureusement du bruit. Après des années de procédure, des travaux d’insonorisation très coûteux sont réalisés.
Parce que l’expert acousticien est capable d’estimer les émissions sonores de ce type d’unité industrielle, les choses se seraient passées de la façon suivante :
Un grand groupe industriel dans le domaine du luxe a construit son nouvel atelier de conditionnement, en extension d’un atelier existant. Quelques semaines avant l’installation des machines, des doutes commencent à apparaître au sein de ses équipes quant à la future quantité de bruit au poste de travail, l’atelier étant très résonnant. Il consulte alors le BE acoustique en lui demandant une prestation d’étude pour la limitation du bruit des machines, sans toucher aux parois du bâtiment (qui sont pourtant très réverbérantes). Le BE acoustique, connaissant très bien le domaine de production en question et le peu de marges de manœuvre sur les machines de conditionnement, dont la plupart vont être récupérées sur le site, explique à l’industriel qu’il est tout à fait disposé à réaliser cette prestation, mais que les conclusions seront selon toute probabilité très décevantes pour l’industriel, si aucune action ne peut être envisagée en complément sur les parois du bâtiment lui-même.
La relation cesse, sur ce sujet, entre le BE acoustique et l’industriel …
Parce que l’expert acousticien connaît ce type d’installations et qu’il a l’expérience du panorama des actions envisageables pour maîtriser le bruit dans ce domaine de production, les choses se seraient passées de la façon suivante :
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